Friday, November 23, 2012

Ourika


1. Il y a deux parallèles flagrantes entre les personnages de Zoflora et Ourika . La première c'est qu’elles était des négresses qu’ayant acceptées leurs rôles comme des esclaves, aimaient et admiraient leurs maîtresses qui les avaient élevés. Elles admiraient tout ce qu’était lie a la société. Chacun des deux était par nature unique comparée aux des autres esclaves et c’était pour ça que les deux négresses se pourraient trouver étant a un tel point admis dans la société. La deuxième c'est quelles se souffraient d'un amour sans retour. 

2. Je ne trouve pas facilement comme on peut considérer Ourika d'étant un texte antiesclavagiste. Peut-être selon Ourika elle-même, l'Afrique ne servait que pour des danses culturelles, comme il était un pays plein de la barbarie et l'ignorance. Un pays duquel elle était sauve par moyen de l'esclavage. La seule mesure par la quelle on peut considérer Ourika d'étant un texte anti-esclavagiste, selon-moi, ce par les considérations de Mme de B. et Marquise de -. Elles comprennent les limites sur lesquelles Ourika est gêné mais au même-temps, elle ne cherchent pas ou elles ne luttent pas pour des moyens pour les enlever. Elles seulement regrettent qu'elles avait facilité la croissance des talents et de l’érudition d'Ourika. 

3. Si ce portrait doit représenter Ourika, il la représente comme une idiote stupide. Ma première impression de ce portrait ce qu'il est ça d'une nourrice et pas un négresse douée ou admirée.  Le portrait souligne surtout le rôle de la négresse comme un objet et pas comme un être-humain et pour ca c'est elle-meme un portrait charmant; mais bien que le portrait était peint pour souligner l'exotisme des noirs, ce ne pas le meilleur choix pour le portrait d'Ourika.

"Benoist's portrait gives credence to the observation that 'those rendered Other are sacrificed to idealization [exoticism], excluded from the being of personhood, from social benefits, and from political (self) representation.'"

Un portrait ironique ne fait qu'Ourika une personnage ironique qui ne sert que pour critiquer subtilement l'esclavage. Si le sentiment antiesclavagiste ne se détache pas a travers de l'histoire, un portrait qui sert comme une métaphore ne la distinguera comme une histoire antiesclavagiste. J'aurais préféré un portrait qui l'aurait peint avec une tristesse résignée. Cela dit, je vois l’utilité de ce portrait.



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