Tuesday, November 20, 2012

Ourika



Première question
Quelles sont les parallèles entre Zoflora et Ourika?

Il y existe beaucoup de parallèles entre Ourika et Justin en particulaire.
Ourika a grandi dans une famille aimante, similaire à Justin. Même si elle était différente de son frère et sa mère n’était pas sa vrai mère, Mme de B a pris soin d’Ourika en la donnant une éducation non préjugé qui était sans aucune doute mieux qu’une éducation des autre Africains. Ourika a dit que « J'arrivai jusqu'à l'âge de douze ans sans avoir eu l'idée qu'on pouvait être heureuse autrement que je ne l'étais. » C’était dangereux, et comme Ourika a découvert, la vie n’est pas toujours aussi heureuse et il faut être prêt à accepter  la vérité, quoi qu’il soit.
Mme de B avait pris bien soin d’Ourika mais elle n’a pas enseigné à Ourika que l’échec est possible, et c’est la même pour Justin. Il faut dire que cela est une leçon appris normalement par soi-même et pas par ses parents ; c’était Simon et le prêtre qui a appris à Justin et Ourika qu’on ne peut pas gagner tous.
Il y existe aussi des similarités entre Zoflora et Ourika. Les deux ont trouvé quelqu’un qui les rend heureux; Zolfora a suivi Justin et Ourika a suivi Charles dans une manière sentimentale. Les deux garçons ont tenu le bonheur des deux filles dans leurs mains, même si ils ne l’ont rendu compte. Les filles ont trouvé un but dans ses  propres vies en suivant les garçons et en les soutenant.
La différence entre les deux c’est que  Zoflora n’est pas devenue totalement désespéré quand elle a été refusé par Justin parce qu’elle a été capable a l’aider pendant son voyage. Ourika n’était pas capable à aider Charles, et avec sa peur de manquer un but dans sa vie elle est devenue assez triste.
A la fin de l’histoire, Ourika s’est rendu compte qu’elle s’est toujours blâmée. Cela est sans doute à cause de Mme de *** qui a montré à Ourika l’improbabilité de trouver un mari. Jusqu'à la fin, Ourika ne cherchait pas un moyen pour résoudre les faits montrés par Mme de ***, mais elle ne fait que craindre l’avenir. Le prête a dit qu’elle pouvait prendre soin des autres êtres-humains, mais elle n’était pas capable à voir ce possibilité pendant sa vie. Ourika dit « Je vis qu'en effet je n'avais point connu mes devoirs: Dieu en a prescrit aux personnes isolées comme à celles qui tiennent au monde; s'il les a privées des liens du sang, il leur a donné l'humanité tout entière pour la famille. » Elle pouvait montrer à l’humanité la possibilité de réussir comme une africaine éduquée, mais elle ne faisait que craindre.

Deuxième question
Dans quelle mesure peut-on considérer Ourika comme un texte anti-esclavagiste?

Ourika est un roman anti-esclavagiste ; il y a deux traits principales de Ourika qui la rende une esclave et qui la préviennent de son bonheur.  
1.       Mme de Duras a montré comment Ourika sentait différente de son frère blanc tout simplement a cause de la couleur de sa peau. Charles et Mme de B étaient blancs, et Ourika n’a pas remarqué la différence quand elle était jeune;

« Je n'étais pas fâchée d'être une négresse: on me disait que j'étais charmante; d'ailleurs, rien ne m'avertissait que ce fût un désavantage; je ne voyais presque pas d'autres enfants; un seul était mon ami, et ma couleur noire ne l'empêchait pas de m'aimer. »

Mais après qu’elle a rencontré Mme de *** elle s’est rendu compte que sa peau l’a prédéterminé à une vie plus difficile de cela de son frère. Charles était capable à grandir avec son éducation parce qu’il a été bien placé dans son société comme un blanc éduquée.  Comme un nègre éduquée, Ourika a cassé tout jugement préconçu et elle ne serait pas confortable dans aucune classe sociale (c’était à l’avis de Mme de ***.)

2.       Le fait que Ourika était éduquée a changé son but de la vie; si elle n’était pas éduquée (ou plus simple, si Mme de B n’a pas prendre soin de Ourika comme une fille,) elle aurait été au fond du filet sociale. Son éducation  l’a placé dans une position entre les deux classes sociales. Elle était perdue selon Mme de *** qui a dit ;

« la philosophie nous place au-dessus des maux de la fortune, mais elle (Ourika) ne peut rien contre les maux qui viennent d'avoir brisé l'ordre de la nature. Ourika n'a pas rempli sa destinée; elle s'est placée dans la société sans sa permission; la société se vengera. »

On peut se demande si l’éducation donné à Ourika par Mme de B a vraiment l’aidé, ou si elle aurait été mieux par soi-même. Est-ce que Mme de B était capable à aider Ourika après sa jeunesse? Peut-être Ourika aurait dû essayer à trouver comment elle pouvait utiliser son éducation, au lieu de laisser son unicité lui faire peur.  

Je crois que son éducation soit sans aucun doute une bonne chose. C’était plus difficile à être accepté comme un nègre, mais l’exemple de Zoflora montre que c’est possible de trouver le bonheur même si on est dans une situation compromettante.  

Troisième question
Souvent les éditeurs choisissent le portrait ci-dessous pour illustrer la couverture d'Ourika. Pensez-vous que ce soit un bon choix? Avant de répondre, lisez la page suivante consacrée à ce tableau: 
http://www.arthistoryarchive.com/arthistory/Slavery-is-a-Woman.html.


La femme dans la peinture porte un robe et une coiffe, populaires à cet époque. Elle porte aussi des boucles d’oreilles et sa peau a l’air lisse. C’était les mêmes choses  (pas identiques mais les mêmes composants) des femmes blanches et riches portent à cet époque. C’est une bonne  représentation de Ourika parce que elle n’a pas aucun défaut dans la peinture et donc elle n’a pas aucune raison de se douter visuellement. On se demande comment un femme aussi parfait qu’elle dans la peinture pouvait être blessé par une femme comme Mme de ***par la suite.



















5 comments:

  1. Mike,

    Je trouve la distinction entre comment Ourika et Zoflora ont réagies quand les hommes qu'elles aimaient ne les aimaient pas très intéressant. C'est une distinction importante, car ca montre la différence dans la force de caractère entre les femmes. Il semble que Zoflora est un personnage avec un caractère assez fort de survivre la perte d’un homme qu’elle aime, où, par contre, Ourika était trop faible de survivre.

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    1. Je suis demi d'accord avec ça, parce que c'est vrai que cela montre la différence dans la force des caractères, mais sauf la douleur de l'amour impossible, la suite n'est pas égale. Et aussi, la racine de la douleur d'Ourika est qu'elle était tout seule et la perte de l’intéresse de Charles l'y a rappelé. Qu'est-ce que tu penses?

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    2. C’est vrai que les circonstances jouent un rôle important dans les deux exemples de Ourika et de Zoflora. Zoflora était entouré de l’action de Justin, et elle était capable à le suivre pendant son voyage concernant son liberté et son amour pour Amicie.
      Quand on est occupé, les craintes et les doutes n’ont pas autant d’effet parce qu’on a des obligations à remplir. Zoflora a laissé tomber la poursuite de l’amour de Justin et elle l’avait remplacé avec le désir à l’aider, et cette décision a changé la perte de l’amour pour Justin en quelque chose de bon.
      Le premier désir de Zoflora était similaire a ce de Ourika : l’amour pour un homme. Peut-être que Ourika n’était pas capable a changé son désir a cause des conseils malheureux (et faux) de Mme de *** ? Ourika était piégée dans sa maison et dans ses pensées. Il n’y avait personne qui a dit à Zoflora qu’elle n’était pas capable à suivre ce qu’elle aimerait (à aider Justin), mais Ourika a été directement dit qu’elle n’avait pas d’espoir.

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  2. Mike,

    Vous choisissez d'utiliser le mot "parfait" pour décrire la femme dans le portrait ci-dessus, ce qui est fascinant pour moi. Pourquoi pensez-vous que la femme dans le portrait est "parfait", quand elle n'est qu'un silencieux, figure immatériel sur une toile?

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    1. J’ai choisi le mot « parfait » a cause de la nature de sa peau ; il n’y a aucune faute sur sa peau, et ses traits physiques sont en bonne santé. Si on enlève la couverture blanche qui est posé sur la femme dans le portrait, on trouvera de la peau noir pur et sans défaut. La couverture est déjà enlevée un peu, pour montrer la belle peau qui est au-dessous.
      Peut-être que cela signifie qu’elle (Ourika) était capable a réussir par elle-même, sans les conseilles des femmes blancs (représentées par la couverture blanche), notamment de Mme de *** ?
      C’était mon point de vue du mot « parfait. »

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