Friday, November 23, 2012

LisJohnston-Ourika


  1. Il y a des parallèles entre Zoflora et Ourika. Les deux sont les femmes noires dans le même époque, alors elles ont affronté les même problèmes dans le société.  Les femmes blancs et européens ont eu les problèmes de l'égalité, comme les opportunités de l'enseignement et du travail et leur rôles sociales.  Elles n'étaient pas égal. Mais avec les femmes noires, comme Zoflora et Ourika, le couleur du peau ainsi que leur sexe, les donnaient une plus bas position sociale. Un autre similarité est leur amour interdit pour les hommes blancs.  Les deux sont tombé amoureuse mais elles ne pouvaient pas ensemble a cause du différence dans le couleur de leur peau.  Ourika a aimé Charles, qui était comme un frère, mais il a aimé une femme blanc.  C'était plus naturel a l'époque.  Zoflora a aimé Justin, qui l’a aidé mais il n’a pas retourné les sentiments.  Les deux femmes noires ont eu beaucoup des similarités et les même frustrations de leur positions bas sociale et leur infériorité a cause des leur sexe et couleur. 
  2. Ourika peut considérer un texte anti-esclavagiste.  Il y a eu des bon points sur l'inégalité et injustice pour les noires, même si ils n'étaient pas les esclaves, comme Ourika.  Mais il y a une choses bizarre de cette texte.  Ourika était complètement un victime, comme Mme Octave, la tante de le narrateur en Combray par Proust.  Je trouve qu’elles sont très similaire! Le attitude de “Ma vie est trop difficulté, je quitte!”  Mais Mme Octave était un femme blancs et riche.  Possible, l'auteur voulait créer une femme noire qui était comme une femme blancs et se plaindrait de sa vie quand elle était plus chanceux que les autres.  Ourika a élevé dans un maison européens, elle n’a pas connu les mal traitement et inégalité pour les noires. Alors quand elle a eu des problèmes, comme des femme blancs et gâte, elle avaient une crise de couleur pour le reste de sa vie, comme Mme Octave.  Possible, c'était un texte anti-esclavagiste parce qu’elle a critique les blancs.  Si Ourika était une femme blanche et elle a eu les même problèmes, possible elle peut faire le même chose comme Ourika.
  3. A premier coup d’oeil, je n’ai pas aime le portrait pour illustrer Ourika.  J’ai pense que c’est trop sexuel a cause du sein de la femme.  Les vêtements décolleté qu’elle porte dans le portrait, ils révèlent trop de elle. A mon avis, les corps sont très prive pour une femme en particulier, comme un secret et la nudité fait un femme vulnérable.  Mais après j’ai lis la page et reflété, c’est peut-être le pointe de ce portait.  Elle est vraiment vulnérable, comme un femme noire dans le dix-neuvième siècle.  Dans le société, elle était un plus bas classe sociale seulement a cause de son sexe et le couleur de la peau.  Le portrait suggère que la femme était un domestique dans un maison riche, comme Ourika.  Le femme dans le portrait et Ourika ont beaucoup de les similarités. Les deux ont les femmes noires. En général, les femmes noires étaient vulnérable dans cette période. Nous avons vu  dans les autres textes que les femmes noire étaient prendre avantage par les hommes, sexuellement, physique ou émotionnellement (Zoflora et son maitre, Valbona).   Ourika aussi éprouvait et sensible vulnérable pendant sa vie. C’est prouve pour Ourika que il y a des choses interdit pour elle.  A cause de son sexe, et les rôles sociales des femme, elle ne peut pas faire profession d’amour pour Charles (les homme initie les relations). Généralement, elle était désavantage dans le société a cause de la couleur de sa peau. La femme dans le portrait a partage les même problèmes que Ourika. Alors je pense que le portrait est un bon choix pour Ourika (La femme est un bon modèle pour Ourika?) .  C’est une représentation belle pour les femmes noire pendant cette époque.  Elles étaient vulnérables, mais aussi elles sont forte, travailleur, et surtout, résistant.

Ourika

1)    Zabrio, Valbona, et Mme de B.
  Ils ont tous un membre présent dans leur famille qui face partie des personnages important dans l'histoire. Zabrio a une petite fille, qui s’appelle Zoflora. Valbona a une fille nommé Amicie, et Mme B a un fils, Charles.

     Le père Simon, Zabrio, et Mme de B.
Sont des éducateurs dans l’histoire. Le père Simon raconte l'histoire de Saint-Domingue à Justin et lui donne des leçons sur l’île est de l’endroit ou se trouve l’habitation. Zabrio est un vieillard, il raconte ses expériences avec les Blancs et de sa petite fille. Mme. B a aidé Ourika à apprendre à lire.

      Zoflora et Ourika
 -Elles aiment l’homme qu’elles ne peuvent pas avoir parce ces hommes aiment une autre femme (Justin aime Amicie et Charles aime Anais )
 -Elles sont belles et charmantes
 -Elles sont des négresses

     Justin et Charles
 -sont jeunes
 -voyageurs
 -raconte leurs histoires d’amour

    Justin, Zoflora, Aimicie, Ourika, et Charles
 Sont tous des jeunes enfants

Il y a du mouvement historique par exemple dans Zoflora « Louis XIV envoya ici le Code noir »  et dans Ourika « près de la fin de la Terror »

2 )  Je pense que cette histoire à des signes  d’anti-esclavagiste parce que au début de l’histoire Ourika a était sauvée par Chevalier de B, ou il la donne a sa tante Mme de B. Ourika qui a été bien élevée par Mme de B. Mme de B la considère comme sa propre fille qu’elle a elle même éduquée.  Ourika n’a jamais était maltraité, elle n’a aucune  haine envers Mme de B. Je ne considère pas que cette texte est 100% anti-esclavagiste mais je trouve que ce texte pourrait modifier le changement présent de l’esclavagisme.

3)  Je pense que ce portrait est un excellent choix pour l’histoire d’Ourika.  Premièrement l’expression perçu a travers son visage me fait penser qu’il y a quelque chose qui se passe dans sa vie : elle est triste ou elle veut quelque chose qu’elle ne peut pas procéder, elle est dans l’incapacité de s’acomplir. Deuxièmement l’exposition des son seins me fait pensée qu’elle manque de satisfaction ou même qu’elle attend son amour. 
Après avoir lu cet article, ce tableau a été peint dans l’année 1800 par Marie-Guilhelmine Benoist,  en même temps que la publication d’Ourika. Je croix que Marie-Guilhelmine Benoist savait comment ces femmes (noires) souffraient. Avec tous les histoires d’esclavagismes qui était publié avant Ourika, je pense que Mme Benoist voulait présenter leur suffrage a travers un tableau.

Ourika


1. Il y a deux parallèles flagrantes entre les personnages de Zoflora et Ourika . La première c'est qu’elles était des négresses qu’ayant acceptées leurs rôles comme des esclaves, aimaient et admiraient leurs maîtresses qui les avaient élevés. Elles admiraient tout ce qu’était lie a la société. Chacun des deux était par nature unique comparée aux des autres esclaves et c’était pour ça que les deux négresses se pourraient trouver étant a un tel point admis dans la société. La deuxième c'est quelles se souffraient d'un amour sans retour. 

2. Je ne trouve pas facilement comme on peut considérer Ourika d'étant un texte antiesclavagiste. Peut-être selon Ourika elle-même, l'Afrique ne servait que pour des danses culturelles, comme il était un pays plein de la barbarie et l'ignorance. Un pays duquel elle était sauve par moyen de l'esclavage. La seule mesure par la quelle on peut considérer Ourika d'étant un texte anti-esclavagiste, selon-moi, ce par les considérations de Mme de B. et Marquise de -. Elles comprennent les limites sur lesquelles Ourika est gêné mais au même-temps, elle ne cherchent pas ou elles ne luttent pas pour des moyens pour les enlever. Elles seulement regrettent qu'elles avait facilité la croissance des talents et de l’érudition d'Ourika. 

3. Si ce portrait doit représenter Ourika, il la représente comme une idiote stupide. Ma première impression de ce portrait ce qu'il est ça d'une nourrice et pas un négresse douée ou admirée.  Le portrait souligne surtout le rôle de la négresse comme un objet et pas comme un être-humain et pour ca c'est elle-meme un portrait charmant; mais bien que le portrait était peint pour souligner l'exotisme des noirs, ce ne pas le meilleur choix pour le portrait d'Ourika.

"Benoist's portrait gives credence to the observation that 'those rendered Other are sacrificed to idealization [exoticism], excluded from the being of personhood, from social benefits, and from political (self) representation.'"

Un portrait ironique ne fait qu'Ourika une personnage ironique qui ne sert que pour critiquer subtilement l'esclavage. Si le sentiment antiesclavagiste ne se détache pas a travers de l'histoire, un portrait qui sert comme une métaphore ne la distinguera comme une histoire antiesclavagiste. J'aurais préféré un portrait qui l'aurait peint avec une tristesse résignée. Cela dit, je vois l’utilité de ce portrait.



Thursday, November 22, 2012

Ourika


Moussa
Class 412

Prof. Karen de Bruin

Questions sur Ourika :

Première question :

Quelles sont les parallèles entre Zoflora et Ourika ?

Tout d’abord, il faut considérer leur jeune âge, huit ans pour Zoflora et deux ans pour Ourika lorsqu’elles ont été séparées de leur famille.
Elles ont toutes intégrées les familles des esclavagistes à bas âge.
Elles étaient toutes belles et charmantes.
Par la suite, elles ont été élevées dans la cour des maîtres en même que leurs enfants.
Elles ont joui de liberté consensuelle dans ces familles qui les ont bien traitées.
Zoflora a été bien éduquée chez son premier maître où elle a appris le français avant d’être achetée par Mr Valbona.
Tandis que Mme B. a aussi donné une bonne éducation a Ourika qui avait appris l’anglais et l’italien, et la peinture. Mme de B. s’occupait de ses lectures.
Elles ont également vécu des moments de solitudes et de grâces qui leur ont fait penser à leur condition de vie et à leur classe sociale.
Ayant les mêmes destinées, elles en souffraient quelques fois sans aucune force et sans solutions en vue.
Elles ont toutes vécu un amour malheureux, Zoflora tomba amoureux de Justin qui l’a sauvée et récupérée d’un enfer désolant. Ils sont devenus des compagnes et ont vécu plusieurs péripéties. Malheureusement, Justin n’aimait qu’Amicie dès leur première rencontre et ils ont finis par vivre ensemble et se marier.
Ourika, quant à elle, aimait Charles avec qui, elle a grandi dans la maison. Elle dit que c’est dans le cœur de Charles qu’elle cherchait un abri. Charles, aussi, éprouvait un grand amour envers Ourika dont il dit : quand elle me regarde, je ne respire plus. Elle m’a donné son premier amour. Mais la pauvre Ourika se sentit victime de sa couleur et de son rang social.

Deuxième question :

Dans quelle mesure peut-on considérer Ourika comme un texte anti-esclavagiste ?

D’abord en lisant ce texte, l’on peut se rendre compte qu’Ourika, en quittant le Sénégal à bas âge, n’a connu qu’une seule famille.
Elle a été adoptée et élevée avec beaucoup de considérations par Mme de B.
En même temps que ces enfants, elle lui a donné une éducation sans violence, sans traitement atroce. Ceci, nous amène à dire que Mme de B était anti- esclavagiste du fait du traitement sans égale d’Ourika.En aucun moment, elle ne s’est senti esclave. Elle n’avait pas fini de tarir d’éloges à Mme de B. qui l’aimait, la caressait.
Ourika a été gâtée par tous les amis de sa patronne qui était entourée de personnes aimables et spirituelles. Elle dit qu’elle n’était pas fâchée d’être négresse.
Quelques fois, Mme De B. consultait des ouvrages savants sur la musique africaine et choisissait une danse Comba, danse nationale du Sénégal.
Ce fut une manière de la satisfaire et un moment d’inculturation pour la petite Ourika. A la fin de la danse on l’entoura et l’accabla d’éloges.
Aussi, les réactions de Charles et son amour pour Ourika était la preuve d’un sentiment partagé entre une pauvre négresse et son ami blanc bien considéré.
Enfin, les conseils du prêtre l’encouragèrent pour son destin. Il lui demanda de ne pas perdre de courage et de prier Dieu. Il n’y a pour lui ni négresse ni blancs : tous les cœurs sont égaux devant ses yeux et le vôtre mérite de devenir digne de lui.

Troisième question :

Souvent les éditeurs choisissent le portrait ci-dessous pour illustrer la couverture d’Ourika.
Pensez-vous que ce soit un bon choix ?

A mon avis, c’est un bon choix dans la mesure où, le portrait révèle le chagrin d’Ourika comme l’éloignement.
 L’habillement est traditionnel avec un mouchoir de tête que portent les femmes sénégalaises.
Le sein gauche est nu ce qui exprime une absence d’amour véritable.
Assise sur une chaise, avec un regard stressant, elle révèle des signes de solitude, d’angoisse.
Elle semble être malheureuse et victime de sa couleur, vivant de désespoir.




Wednesday, November 21, 2012

Ourika


1. Les parallèle plus important pour moi entre Zoflora et Ourika sont quelles aimerait dur.   Zoflora aimait  Justin probablement plus qu’elle même.  Zoflora voulait rester dans chez lui bien que  Justin ne l’aimait pas et il aimait l’autre femme qu’il habitait avec.  Je pense que sa c’est un peu fou et un exemple qu’elle aime trop.  Ourika avait le même problème.  Elle aimait Charles qui était comme son frère et son meilleur ami.  Quand Charles mariée elle était triste parce que Charles ne retourner pas souvent parce qu’il aimait sa femme et elle était sa nouvel confiance.  Ourika ce sentait qui c’était comme il n’a pas besoin de sa amitié plus.  Dans l’histoire il y a aussi une parti qu’elle a dit quelle a pense qu’elle aimait Charles peut être plus qu’elle même.

2. Je pense que Ourika est une histoire anti esclavagiste.  Au début de l’histoire Ourika etait sauve par M. de B de l’esclavage.  Apres M. de B traites Ourika comme sa fille.  Ourika étais éduquée est traite comme si sa couleur n’importais.  La seule raison que Ourika découvert que sa couleur importe étais quand elle écoutai  la conversation entre M de B et s’amie.  Un autre raison que je pense cette histoire est anti esclavagiste est parce que je ne rappelle pas un esclave dans l’histoire.

             3.Le portrait d’une negresse est parfait pour la couverture d’Ourika.  C’est une negresse habillait en un chiffon de luxe.  Peut être est un peu controversé  parce que dans ca tempe étais bizarre pour une negresse avait un chiffon de luxe, mais Ourika étais une negresse dans une famille aristocrate.  Le chiffon est comme un symbole de sa famille aristocrate.  Un autre chose est dans le portrait sa poitrine est hors.  Je pense que sa c’est un symbole de l’amour qu’elle avait senti pour Charles parce que dans l’histoire elle a dit que s’amour pour Charles était comme un amour de mère.

Questions sur Ourika


1.  1.     Le parallèle principal entre Zoflora et Ourika, c'est que ces deux femmes tombent en amour avec un homme qu'elles connaissent est impossible d'être avec. Ils ont tous deux désirent un amour inaccessible. Zoflora tombe en amour avec un homme blanc qui est déjà en amour avec quelqu'un d'autre, mais elle continue d'être en amour avec lui et sacrifier tout ce qu'elle a, juste pour s'assurer qu'il est heureux. Mais elle sait qu'elle ne pourra jamais être avec lui, et c'est pourquoi elle ne dit jamais lui ses vrais sentiments. Ourika tombe en amour avec Charles qui était son protecteur et son conseil, mais après il est tombé en amour avec Anaïs de Thémines et il l’a épousé, Ourika a su qu’un futur avec lui était inaccessible, donc elle a tourné à Dieu pour le conseil. Ces deux femmes négresses savaient que dans leur époque, être en amour avec un homme blanc était quelque chose d'impossible, mais elles ont continué à les aimer de toute façon et se sacrifier au nom de l'amour vrai.

Un autre parallèle entre les deux, c'est qu'elles ont tous deux gardiens qui les éduquent et qui les aiment inconditionnellement. Zoflora était élevée sur la plantation de Valbona, et en dépit d'être une négresse, son tuteur blanc Madame Valbona l'aimait et la respectait comme un égal. De même, Ourika a eu Mme de B qui l’éduquait et l'aimait comme son propre enfant. <<Je viens vous voir et causer avec vous, ma chere Ourika, me dit-elle. Vous savez combien je vous aime depuis votre enface, et je ne puis voir, sans une veritable peine, la melancholie dans laquelle vous vous plongez. Est-il possible, avec l'esprit que vous avez, que vous ne sachiez pas tirer un meilleur parti de votre situation?>> M de B a dit ça à Ourika parce qu'elle la veut être heureuse alors même qu'elle sait la situation grave d'Ourika. Notez aussi comme M de B parle à Ourike avec <<vous>>, qui signifie qu'elle la respecte.

2.     2.  Je crois vraiment qu’Ourika est un texte anti-esclavage. En classe, nous avons parlé de l'esclavage n'a été aboli jusqu'à ce que les gens voyaient les esclaves comme des humains et non comme des animaux. Dans Ourika, je crois qu'elle a été affectée par son environnement et des circonstances autour d’elle. Par exemple, Ourika a entendu Mme de B en disant qu'elle veut Ourika pour être heureuse, mais en France, personne ne va vouloir l'épouser ou d'avoir des enfants avec elle à cause de son être une négresse. Après avoir entendu cela, Ourika sentait qu'elle n'était pas digne de quelque chose en France et elle voulait retourner dans son pays natal. Evidemment, Ourika n’était pas égale en France. Elle n'était pas traitées à égalité avec les autres et on peut dire qu’elle était regardée comme une animale à cause du couleur de sa peau.  Etre « esclave » n’est pas juste travailler sur une plantation. Je crois qu’elle était une esclave de ses environs et ses sentiments parce qu’elle ne pouvait pas suivre son amour, donc je crois qu’Ourika représente un texte anti-esclavagiste. Ce n’est pas dans une mesure très forte, mais je pense qu’on peut le donner le titre d’un texte anti-esclavagiste jusqu’à une certaine mesure.<<Me sauver de 'esclavage, me choisir pour bienfaitrice Mme de B., c'était me donner deux fois la vie.>> Ici, Ourika admet qu'elle était sauvé d'une vie d'esclavage actuelle, mais je pense qu'elle était une esclave de ses pensées.

3. 3.   Je pense que ce tableau est un excellent choix pour la couverture du texte Ourika, parce que non seulement elle représente l’antiesclavagisme, il représente le féminisme et le racisme. La femme noire dans la photo est assise sur un trône qui représente la royauté, mais elle est habillée très simplement. Cela représente esclaves vivant dans un monde où ils ne sont pas en mesure de profiter des luxes comme tout le monde. L'expression vide sur le visage de la femme montre la douleur d'une femme esclave noire qui vive dans un monde où elle est victime de discrimination pour non pas un, mais beaucoup de choses. Sa seine exposée symbolise sa féminité et son souhait d'être traité comme un égal. Les femmes peuvent s'attendre à vivre une vie de mère, d'épouse et de gardien de la maison, surtout pendant la période de temps Ourika a été écrit. Ce tableau montre que les femmes, en particulier Ourika, souhaitent qu'ils puissent recevoir la même égalité et opportunités dans la vie comme les autres Blancs, des hommes, et ceux de statut social plus élevé. Ourika est un parfait exemple d'une femme qui s’est occupée de la dépression en raison de son statut sociale, la couleur et le sexe.

L'armour impossible



1)  Zoflora et Ourika sont deux ouvres de la dix-neuvième siècle.  Il y a quelques similarités entre les deux.  Premièrement, les titres de les deux sont les noms des négresses.  En plus, les deux cherchent un amour impossible.  Zoflora aime Justin, qui est un Européen, vient de France, et Ourika aime Charles.  Actuellement, ça n'est pas le cas avec Ourika.  Elle est une négresse en France et elle a un amour impossible car, par les paroles de Mme de …, il n'y a personne qui veut à avoir des enfants nègres.  Donc la tension dans l'histoire Ouikra c'est qu'il y ait un chemin pour elle d'être heureuse.  Elle veut d'être aimé et d'avoir les enfants, mais il semble que ça n'arrivera jamais.  Donc, elle veut tomber dans amour avec n'importe qui, et l'amour entre Charles et Anaïs est la cause pour son envie et malheur.  Zoflora, tout a fait, aime Justin, et c'est lui et lui seulement qu'elle aime.  Mais les parallèles sont qu'il existe cette lutte avec le façon de penser de l'époque, souligne par la tristesse de l'amour impossible.
            Une autre parallèle, c'est qu'il y a dans les deux histoires un personnage de bienveillance, qui, pour le plupart, est au-dessus de les conflits.  En Zoflora, ce personnage était Père Simon, qui a aidé Justin au d'abord de l'histoire et l'a conseillé de lutter pour la liberté des esclaves.  En Ourika, ce personnage était Mme de B, qui soignait Ourika et l'a aimé malgré tout.


2)  Dans la même mesure de Zoflora.  Même que Zoflora, au surface, il semble que Ourika ce n'est qu’une histoire de l'amour, ou plus spécifiquement, l'amour impossible, avec les difficultés ajouté de la fait qu'elle est une négresse et qu'elle était acheté au d'about de l'histoire.  Il n'y a ni une révolte ni un point très fort sur l'importance de libérer les esclaves.  Mais, même que Zoflora, cette histoire est une histoire  antiesclavagiste parce qu'il peigne une négresse comme une femme avec toutes les émotions et des mœurs, et pas comme un animal avec ses bas désirs aveugle.  En effet, l'autrice met la lecture en colère quand Ourika a regardé ses mains comme les mains d'un singe, et quand elle a caché le couleur de son peau par les gants et les grandes robes qui l'envelopper.
            Donc le but de ce récit c'est de faire les gens (partout le monde) de voir les nègres comme des humaines.  Parce qu’après ça, ils voient que l'esclavage c'est dégoûtant.  C'est difficile pour nous de comprendre ça, grâce à la fait que nous savons déjà que nous tous sommes humaines également.  Je trouve qu'il y a des parallèles entre ces idées et cieux que Martin Luther King Jr., qui proposait qu'un jour nous allons ignorer nos différences.


3)  De dire simplement, oui, le portrait est un bon choix pour l’histoire d’Ourika.  Je dis qu’il est un bon choix, parce que je crois que le but d’Ourika est de montrer aux lecteurs que les nègres sont humains, comme les blancs.  Comme c’est écrit dans « Slavery is a Woman », à cet époque, on ne trouvait pas souvent des portraits des nègres.  S’ils étaient dans un portrait, il n’était que montrer le pouvoir, ou les richesses du blanc dans ce portrait.  Donc, en peint un portrait d’une négresse sans un blanc, le peintre a montré à le monde que les nègres sont humains, exactement comme l’histoire d’Ourika.  C’est pour ça que je propose que ce portrait soit un bon choix pour la couverture d’Ourika.
            Mais aussi, il y a une sorte d’attrait à ce portrait.  Il y a une expression énigmatique sur son visage.  Cette expression dit qu’elle a un récit qu’elle veut nous raconter.  Aussi, sa torse nue, nous montre qu’elle sera honnête complètement.  Donc si on voit ce portrait, on se dira, « C’est qui cette femme ?  Quelle est son histoire ? » Et puis on prend le livre et commence à la lire… et puis ils changent comment ils pensent.

Mes réponses aux trois questions

1. Il ya des parallèles directs entre les personnages de Zoflora et Ourika. Un parallèle entre ces deux femmes, c'est qu'elles ont la capacité de participer à la classe supérieure de la société en raison de leurs capacités intellectuelles, mais leur couleur de peau arrête injustement. Par exemple, Ourika a été soulevée par Mme de B, un puissant, riche, femme intellectuelle et à la suite de cela, Ourika participe à cette société. Cependant, comme l'Ourika trouve malheureusement au travers d'une conversation entre Mme de B et de la marquise, la marquise demande à madame de B "A qui vous épouser, avec son intelligence et de l'éducation que vous elle avez donnée? Qui voudra jamais épouser une négresse?" (Page 5). Zoflora et Ourika sont à la fois incroyablement belle et attirer l'attention des hommes blancs, mais aucun d'entre eux finissent avec l'homme qu'elles aiment, ce qui est un autre parallèle entre eux. En outre, ces deux femmes ont bienfaitrices dans leur vie qui les soutiennent économiquement et mère: Madame de B et Madame Valbona. Enfin, Zoflora et Ourika sont deux femmes qui sont donnés l'illusion qu'ils sont libres des contraintes de l'injustice raciale, mais ils sont à la fois victimes. Zoflora, même si elle habite dans la maison de M. Valbona pendant un certain temps, elle est encore esclave, et Ourika, qui est ressuscité en tant que femme jeune bonne, est toujours freinée par la superficialité des gens riches qui l'entourent.

2.  Je crois que Ourika est un texte qui montre des signes d'anti-esclavage. Je me sens de cette façon parce que premièrement, lorsque Ourika est un enfant, elle est sauvée du Sénégal par Monsieur le Chavalier B de, qui est un homme blanc, et elle a été élevée par sa tante comme si elle était sa fille biologique. Depuis que ce livre a été publié en l'an 1800, ce serait du jamais vu en réalité pendant cette période. En outre, non seulement Mme de B augmenter Ourika de façon minimale, dit-elle dans l'histoire: "J'ai été aimé d'elle, chéri, choyé par tous ses amis, une pluie de cadeaux, loué, exalté comme le plus spirituel et le plus aimable enfant "(page 4). Ourika ne mentionne pas une fois qu'elle a été traitée différemment en raison de sa couleur de peau, ce qui favorise l'idée que tous les hommes sont égaux, ce qui est une croyance anti-esclavagiste.  Plus tard dans l'histoire, une fois que Ourika est en deuil et physiquement malade, le prêtre qui lui rend visite à l'hôpital lui dit: «Priez Dieu, Ourika Il est ici;. Il tient sur ​​ses bras pour vous Pour lui,. il n'existe pas de nègres et pas blancs; tous les cœurs sont égaux devant Lui, et le vôtre mérite de devenir digne de Lui "(page 17). En tant que prêtre homme blanc dans l'histoire, ce message d'Ourika est puissant à la fois son et le lecteur. C'est la preuve directe d'un message anti-esclavage qui nous est donné à la fois comme une citation et comme un thème dans toute l'histoire.

3. Je crois que le portrait ci-dessus est l'image parfaite de la couverture de Ourika. Je me sens de cette façon à la fois avant et après avoir lu l'article qui nous est donné de lire sur le portrait, parce que la femme peinte en noir dans ce portrait est l'un de l'élégance, de la beauté et de sérénité. Bien que son expression ne nous donne pas en tant que spectateurs une émotion directe, on peut soutenir que l'on peut détecter un certain état de repos complet et la paix de la couleur qu'elle porte sur son corps blanc et sur ​​sa tête, car il est souvent symbolisée par l'couleur de la pureté et de la paix. En outre, après avoir lu l'article, il est dit que l'artiste, Marie-Guilhelmine Benoist, a peint ce portrait de l'année 1800, qui est l'année même où Ourika a été publié. L'année reflète également que "Benoist aurait exécuté le travail comme un hommage à l'émancipation 1794, en la combinant avec la montée d'un mouvement de courte durée féministe en France, ainsi relier efficacement les questions de l'esclavage et de la condition des femmes", qui a également été noté dans l'article.  En outre, lorsque "Le Portrait d'une négresse" est comparé au portrait 1733 de "Madame de Clermont au bain Assisté par les Esclaves", la pose et de l'habillement de la femme noire dans le portrait de Benoist est presque identique à la femme blanche dans le portrait de 1733 par Jean-Marc Nattier, qui peut être une représentation de Ourika, dans l'histoire, car elle a été élevée dans une riche famille blanche immaculée.

Ourika


1.) Il y a beaucoup de parallèles entre les deux textes Ourika et Zoflora. Elles sont similaires parce que leurs vies sont contrôlées par les autres forces. Elles habitent aussi dans une société haute en comparant leurs homologues en esclavage. Toutes les deux femmes sont noires et en plus le sujet de l'intelligence entre les deux est faible. Elles étaient aidées grâce aux bienfaitrices Madame Valbona (Zoflora) et Madame de B. (Ourika). Les parallèles entre les deux textes sont qu'il y a toujours une femme blanche qui croyait que la négresse pourrait réussir avec l'aide d'autres humaines. Ourika, elle a dit dans le texte << J'appris l'anglais, l'italien, et madame de B. Elle-même s'occupait de mes lectures -- Elle guidait mon esprit, formait mon jugement. En causant avec elle, en couvrant tous les trésors de son âme, je sentais la mienne s'élever et c'était l'admiration qui m'ouvrait les voies d'intelligence. >> (la page 15-16) Les livres nous ont montré ce que les négresses pourraient faire à cette époque et qu'elles pouvaient faire pour avancer leurs vies.
2.) Je pense que cette histoire est une histoire un peu antiesclavagiste. Il y a beaucoup de thèmes très importants au sujet d'esclavage comme l'égalité et la liberté. Mais les thèmes sont montrés très subtilement comme les autres livres dont on a parlé en cours. De plus, l'auteur d'Ourika a créé une nouvelle idée pour nous montrer. Le fait que l'intelligence d'une femme noire pourrait être plus haute que des femmes blanches nous ont montrés que ce livre est un livre du féminisme aussi ; peut-être plus qu'un livre anti-esclavagiste.
3.) Cette image est un bon choix parce qu'elle démontre la lutte des femmes, de la classe, de la race. La femme de l'image est une femme noire (comme Ourika). Elle est dans une classe plus haute que les autres femmes noires. Par exemple, elle porte un tissu d'une qualité plus chère qu'un esclave typique. Elle résume bien l'histoire du livre.

Ourika Questions


1.     Entre les textes de Zoflora et Ourika il y a beaucoup de parallèles, en particulaire entres les personnages après lesquels les textes sont nommés. Les deux femmes, Zoflora et Ourika, sont des « négresses » et par conséquent il y a des certains problèmes auxquels il faut faire fasse. Par exemple, tout les deux, elles sont amoureuses d’un homme qui est un blanc et qui est amoureux d’un autre. Zoflora est amoureuse de Justin, mais il est déjà « pris » par une femme, Amicie, qui est aussi blanche. Également, Ourika est amoureuse de son frère adoptif, Charles, qui s’est marié avec une femme française, Anais. En plus les deux sont tellement belles et charmantes qu’elles sont adorées par tout le monde. A Saint Domingue Zoflora, quand elle était petite, vivait sur une plantation où tous les esclaves, et même son maitre, l’adoraient. En France, Ourika vivait chez une famille française et malgré le fait qu’elle soit une négresse, la famille et les amis de la famille l’adoraient aussi. Et dernièrement, les deux femmes ont une autre femme, plus âgée, qui s’est occupe d’eux. Pour Zoflora nous ne voyons pas cette femme, mais il y a certains moments dans l’histoire ou les personnages mentionnent la Madame de Valbona. Dans le cas de Ourika c’est Madame de B qui s’occupe de Ourika. 

2.     Il me semble que Ourika n’est pas un texte anti-esclavagist. Pensons à l’hiérarchie des textes anti-esclavagiste dont nous avons parlés, Ourika serait dans le milieu ou vers le fond (le bas ?). Le texte peut être lu comme un texte anti-esclavagist car la famille adoptée et les amis de Madame de B ont acceptés Ourika dans leur « circle d’amis ». Mais au même temps le texte me fait penser que Ourika est comme une animale qui est « dressée » d’agir comme une personne. Il semble qu’elle soit une blague pour les amis de Madame de B, même si elle ne le réalise pas. Madame de B l’éduquée et la fait apprendre danser, et puis Ourika a performé pour les amis de Madame de B ; pour leur amusement. En plus, Ourika, bien qu’elle soit une très belle femme, bien éduquée et avec beaucoup de talent, Charles ne l’a jamais considéré comme une « vraie » femme. Elle était seulement une « sœur » et une amie. Ca suggère que la raison que Charles n’a pas tombé amoureux de cette femme charmante est parce qu’elle est une négresse. 

3.     Je trouve que ce portrait est un choix un peu bizarre pour la couverture pour Ourika. L’explication du portrait suggère que la femme était un esclave qui est devenue une serveuse ( ?), mais il semble un peu étrange de représenter Ourika, qui agit vraiment comme une femme française, comme une femme africaine. C’est comme l’image représente Ourika si elle n’a pas été sauvée par Monsieur de B. Aussi elle révèle son sien, une action que je suis certain que Ourika ne ferrait jamais. Par contre, la femme est belle, comme Ourika. Aussi, l’explication du portrait mentionne que la femme dans le portrait probablement était ordonnée de poser comme ca. Similairement, Ourika avait besoin de « poser » ou d’agir comme Madame de B l’instruit. Alors, je vois pourquoi les éditeurs ont utilise ce portrait pour la couverture du livre, mais je crois qu’on peut facilement trouver, ou créer, un autre image beaucoup mieux.